Prénom et Nom ; Cameron E. Sanders
Age ; 19 ans
Date et Lieu de naissance ; 16 avril 1991 à Londres.
Nationalité ; Anglais
Groupe choisi ; REBELS?

« J'en ai toujours voulu au temps, car il passe trop vite. Je lui en voulais de détruire mes souvenirs. Mais j'ai compris. Parfois, les plus belles histoires prennent du temps. Les plus beaux moments ont souvent été attendus très longtemps aussi. Ces mains qui se serrent et ces yeux qui se croisent en valent la peine, après tout. C'est l'attente qui rend les choses aussi belles. » ♥

ϟ Never forget to love yourself.

Tout d'abord, quelques détails à savoir sur moi. J'ai commençer à me droguer en sortant du lycée. Une fois de temps en temps d'abord, puis plus réglièrement et j'ai tendance à retomber facilement dans cette addiction. Je fume énormèment et suis également addict au café. J'aime faire la fête et par conséquent, boire à outrance. J'aime également, séduire mais je ne suis pas un briseur de coeur. Quoique, certaines vous diront le contraire mais peu importe. Ma couleur préférée est le rouge. Mon parfum de glaçe favori est la vanille, ou la pistache. J'adore la musique. J'ai horreur de l'orage et du mauvais temps, car on peux pas sortir et je déteste rester enfermé. Je n'ai aucun problème de santé particulier et au fond, tant mieux. Hm, ensuite ( ... ) je crois qu'il est temps de vous raconter mon histoire, ou du moins. une partie .. pour le reste, libre à vous de me découvrir mouahahah

J'ai toujours aimé l'écriture alors même si ce sont les filles qui ont un journal intime je n'ai pas honte de dire qu'à mon adolescence j'ai commencé à écrire quelques lignes sur un cahier de brouillon précieusement caché dans mon armoire. Vu que je n'aime pas parler de moi, je préfère me confier sur le papier. Retraçons quelques pages de se carnet pour comprendre l'homme que je suis aujourd'hui. Commençons bêtement par le commencement. J'ai vu le jour le 16 Avril 1991 à Londres, vous en concluez donc que je suis d'origine Anglaise. et remarquez une chose, mon teint. Non, je ne suis pas blanc comme mon père, mais je ne suis pas trop typé non plus. Disons que je suis à mi-chemin et j'aime les représenter de la sorte. Mon père lui, est Anglais. Un vrai. Alors que ma mère elle, est Américaine et plus particulièrement du Texas. Bon je vous l'accorde, l'Amérique, l'Angleterre c'est presque pareil d'où le fait que je ne devrais même pas vous le préciser. Mes parents n'avaient que 16 ans lorsque j'ai pointé le bout de mon nez alors autant dire que tout ne fût pas super au départ. Ils se marièrent à mes 5 ans et nous vivions à l'époque, dans une superbe et grande maison, toujours à Londres. C'est d'ailleurs là bas que j'ai grandit et effectué toute ma scolarité, et en réalité la vie y était sans doute plus simple quand j'y repense.

Et les années passent, trop vite à mon goût puisque j'ai soufflé ma dix neuvième année. Oh contrairement à certains je n'ai pas d'adolescence difficile bien que la drogue fasse partie de mon quotidien. Enfaite tout a commencer lorsque j'ai quitté le lycée. Une bande de potes, de mauvaises fréquentations. Des soirées, de l'alcool, des filles et de la drogue. C'était ça mon crédo et je ne m'en suis jamais plaint sauf que mes parents eux, en eurent marre et me menacèrent à plusieurs reprises de me mettre à la rue. Evidement, ils savent que cela n'arrangera en rien mes problèmes de comportement puisque je n'en ai toujours fait qu'à ma tête. Un rebelle dans l'âme ? Non, mais j'ai toujours eu ce rêve de gosse d'être le parfait cow-boy, ou le parfait bandit enfaite je sais plus trop. Dans les deux cas, je suis parfait c'est ce qui compte. Non sincèrement, j'ai décidé de reprendre ma vie en main il y a très peu de temps et sur un coup de tête, j'ai pris mes clics et mes clacs pour m'envoler à New-York. Mon but ? Y poursuivre mes études dans la photographie. Bien entendu, je veillerais à me trouver un logement et un petit boulot pour palier mes finances. Je ne cacherais pas mon côté rebelle, fêtard, provocateur et macho puisqu'il est dans ma nature mais allez savoir si ma personnalité plaira ou non. Enfaite vous savez quoi ? Je m'en fiche, tout comme cette banalité de formulaire que j'ai à remplir devant cette secrétaire à lunette. Bon d'accord, elle est mignonne mais elle en fait un peu trop alors je griffonne mon histoire comme je peux en essayant d'esquiver mon regard du mieux que je peux. Tout cela vous convient ? Ou pas ? Car en faite, ma vie n'a rien d'extraordinaire. Mes parents vivent à Londres, et je n'ai que très peu de contact avec eux. J'ai un petit frère, Tyron. Je n'ai jamais commit de fautes graves, ou du moins pas encore. Je ne suis pas marié, et ne suis plus amoureux. D'ailleurs, c'est quoi l'amour ? Trouvez-moi donc une femme capable de me faire croire en l'amour et je vous construirais un château en chocolat. A bon entendeur, salut.

Malgré mon comportement ouvertement provocateur, mon sourire qui ne me quitte jamais et la réputation que l'on me donne déja de dragueur, je crois que mon caractère n'est en rien traduit par mon apparence. Comme on dit bien souvent, méfiez vous des apparences car en effet, il y a de quoi se méfier. Disons que malgrès que je sois quelqu'un qui se sociabilise facilement, je suis de ceux qui n'accordent que très rarement la confiance. Bien qu'étant toujours à l'écoute de mon prochain, je suis relativement méfiant et n'accorde qu'une confiance aveugle en moi-même ainsi, je n'aurais de compte à rendre à personne et ne devrais rien à personne. Je sais toutefois que je peux compter sur certains de mes amis et je leurs en suit reconnaissant, cela va de soi. Je suis quelqu'un qui sait se montrer très gentil, très doux voir même protecteur envers ceux qui attisent mon affection. C'est un côté plutôt doux qui est parfois trop en contradiction avec mon côté moqueur et très provocateur qui me sert en quelque sorte, de carapace sous laquelle je me réfugie afin de ne pas être dévoilé au grand jour.

Avant tout chose, je précise que je déteste parler de moi alors vous m'excuserez si je vous donne une piètre description de ma personne … Grossièrement je ne suis pas un de ces types qui se la raconte et qui discute de ses sentiments à tout va. Pour moi, avouer ses sentiments, c’est un truc de filles. Vous ne m’entendrez jamais parler de ces trucs. Enfin, il peut m’arriver de ne pas être dans mon état normal, bien sûr. Je peux également en jouer. Les filles adorent les hommes qui pleurent sur leurs épaules ! En amitié, je roule au feeling. Je ne me fais pas d’amis pour augmenter ma liste de contacts sur Facebook. Soit mes relations me sont utiles, soit ce sont de véritables relations de confiance mais dans ce cas là, elles sont rares car je n'accorde que très rarement ma confiance.. Mes relations peuvent aussi, bien sûr, être particulièrement séduisantes, je vous l’accorde … Et si on demandait à mes proches de vous parler de mon caractère, ma mère me qualifierait de « borné et grande-gueule », mes amis de « déconneur », les filles avec qui je n’ai passé qu’une nuit de « salaud et de menteur » et mon père ne trouverait sans doute aucun adjectif pour me décrire. Mes profs eux, me jugeraient « flemmard » pour le peu qu'ils me croisent en cours. Je suis sans aucun doute un peu de tout ça. Je prends la vie comme elle vient et je n’accorde que peu d’importance aux éléments qui m’entourent. J’ai beaucoup de défauts, je le sais. Pour autant, je suis mystérieux, amusant, protecteur et les filles adorent ça.. En réalité, je suis deux personnes. Une que tout le monde peut voir, aimer ou détester ! L’autre qui ne se révèle qu’à des personnes de confiance, autant dire rarement. Vous pourrez comprendre aussi que les filles tenaient une place importante dans ma vie, c’est vrai. Je suis un séducteur, un coureur et souvent un infidèle. Je ne suis tombé amoureux qu'une seule fois en dix neuf ans. Je ne la connaissait pas plus que ça, c'était lors d'un voyage .. voyage qui m'a tant marqué. J'étais con, niais et j'avais besoin de réconfort et elle apparût comme un cadeau. Nous avons flirté durant tout mon séjour, autrement dit durant deux petits mois. Deux petits mois certes mais qui furent assez longs pour faire naître en moi un sentiment que je n'avais vécu connu auparavant. J'ai du hélas, la quitter à contre-cœur en revenant près de ma famille pour poursuivre mes études. et depuis, plus rien. plus un mots, pas un appel, aucun signe de vie. le néant à nouveau mais rassurez-vous je ne suis pas abattu puisque je suis là, encore plus fort.