vient rendre visite

Notre profonde complicité avait rendu notre amitié unique en son genre et aujourd'hui encore, je demeurais persuadé que c'est cette entente parfaite qui offrait tant de splendeur à notre couple. Parfois, nous étions pires que nos propres enfants quand il s'agissait de se comporter comme de véritables gamins mais c'est cette envie perpétuelle de nous taquiner l'un, l'autre qui nous permettait de ne jamais tomber dans une quelconque routine.

Dans l'art de la provocation, nous étions de ceux qui ne lâchent jamais le morceau si bien qu'en matière de sexe, Holly et moi-même trouvions sans cesse de nouvelles idées pour pimenter nos ébats. Pour ma part, j'avais vite deviné que j'excellais dès lors que j'étais en position de dominer mon ange et donc que j'avais tout loisir de la faire grimper au rideau sans qu'elle puisse y émettre la moindre objection.

La simple idée de l'entendre gémir de plaisir m'encourageait généralement à lui accorder autant de gâteries qu'elle le souhaitait et comme je ne me lassais jamais de goûter à son fruit défendu, il était assez fréquent que le cunni soit à l'ordre du jour. Dans une telle position, la possibilité de laisser mon sexe bien gonflé s'infiltrer dans l'antre de mon ange me traversa irrémédiablement l'esprit mais bien qu'il soit complexe de résister à une telle tentation, ce n'était pas dans mes habitudes de brûler les étapes. Me délectant de ses soupirs d'extase, je mis alors tout en oeuvre pour que Holly fonde littéralement sous mes assauts répétés.

Du bout de ma langue, je léchai son fruit défendu en le parcourant de haut en bas pour le savourer à sa juste valeur. M'attardant parfois sur sa petite fleur, je posai mes mains sur ses fesses et les écartai avec douceur pour descendre lentement le long de sa raie mouillée par mes soins. A plusieurs reprises, je sentis son bassin se lever ce qui ne manqua pas de me faire sourire et de rajouter à mon excitation si bien qu'une de mes mains s'activa sur mon membre toujours aussi tendu. Ma langue chercha alors à rejoindre ce duvet soyeux et humide telle une fleur couverte de la rosée du matin et je pus bientôt m'abreuver de son doux nectar dont je raffolais tant. Je m’imprégnai aussitôt de ce parfum exquis fermant les yeux afin de mieux apprécier cet instant. Par la suite, j’atteignis enfin le bouton, objet de toutes mes convoitises et je m'amusai à le dessiner le déshabillant du bout des doigts avant d'en faire le tour. Doucement, mes lèvres vinrent l'emprisonner et je me mis à le sucer doucement, ma langue venant en titiller l'extrémité tandis que je l'aspirai avec délectation. Face à une torture aussi divine, j’espérais que mon ange soit comblée au point de m'en réclamer davantage...

Je n'avais pas honte d'affirmer que le sexe était la manifestation la plus flamboyante de notre amour dans la mesure où nos joutes érotiques démontraient à bien des égards la passion dévorante que nous éprouvions l'un pour l'autre. J'avais coutume de dire que nos deux corps s'unissaient en parfaite harmonie car peu importe de quelle manière notre désir se manifestait, aucune fausse note ne venait jamais s'immiscer dans nos torrides ébats. D'ailleurs, il était inutile que l'on accorde nos violons au préalable puisque dès que la moindre envie guidait nos pas, chacun de nos faits et gestes était synchronisé à la perfection comme si nos deux âmes fusionnaient pour n'en former plus qu'une à l'instant même où l'on cédait à la tentation de s'accorder mutuellement un plaisir infini.

Si je n'étais pas du genre à vanter mes mérites, je ne doutais pas d'être compétent lorsque j'avais la lourde tâche d'enflammer chaque parcelle de la peau de mon ange: j'en avais pour preuve que je savais parfaitement me montrer astucieux pour surprendre Holly quand mon intention première était de lui faire découvrir de nouvelles sensations exquises. Après 8 ans de vie commune, notre couple parvenait encore à ne pas tomber dans une certaine routine et ce n'était pas un mince exploit au regard de tout que l'on avait vécu par le passé. Pour autant, j'estimais que les louanges n'étaient pas de rigueur car si je donnais ma pleine mesure en matière de sexe, je le devais en premier lieu à ma délicieuse partenaire. Elle incarnait ma plus grande source d'inspiration depuis que le destin nous avait amenés à échanger notre premier baiser et qu'elle s'était alors emparée de la clé de mon cœur. Cela pouvait paraître surprenant mais avant de réaliser qu'Holly était l'amour de ma vie, j'étais un amant de piètre qualité. Non pas que j'étais un homme coincé mais malgré ma bonne volonté, je n'avais jamais trouvé la solution miracle pour me libérer totalement avec mon ex. En somme, il n'avait fallu que quelques semaines pour que notre relation conjugale devienne totalement soporifique. Avec mon rayon de soleil, je n'avais même pas attendu une semaine pour m'envoler sous d'autres cieux et atteindre l'ivresse. Dès notre premier nuit d'amour, Holly avait fait naître en moi un feu ardent et j'avais alors compris que je désirerai son corps à l'infini...

Alors que je continuais d'offrir à mon sucre d'orge un cunni des plus divins, je sentis que ma langue commençait à fatiguer mais plutôt que de lui accorder une pause bien méritée, je ne fis qu'intensifier la pression que j'exerçais sur son bouton érigée. Il ne me restait plus qu'une partition à jouer pour que mon ange atteigne l'extase mais avec beaucoup d'autorité, Holly s'arrangea pour que le récital se poursuive encore durant de longues minutes. Quand elle m'allongea sur la table de la cuisine, mon membre gorgé de plaisir se cambra d'extase devant ma tigresse n'attendant plus que celle-ci lui ouvre les portes de son antre pour s'épanouir en toute quiétude. Dans un premier temps, je laissai le soin à ma partenaire d'imprimer le rythme qu'elle souhaitait me délectant simplement de ce plaisir incommensurable qui m'envahissait chaque fois que mon sexe pénétrait son intimité de tout son long. L'Andromaque n'était pas une position très originale mais quand Holly me chevauchait de cette manière, j'étais littéralement aux anges pour la simple et bonne raison que j'avais l'opportunité d'observer ses réactions tout en ayant une vue imprenable sur ses deux monts parfaitement sculptés qui bougeaient au rythme de nos va-et-vient. Doucement mais sûrement, la cadence des coups de reins s'accéléra et je ne pus retenir quelques gémissements étouffés tellement mon excitation atteignait alors des proportions démesurées. Mon cœur me donna l'impression de vouloir sortir de ma poitrine mais bien qu'étant complètement en transe, je n'en avais pas encore assez à mes yeux. Du coup, mes mains vinrent se poser sur les fesses de Holly et tout en les empoignant avec gourmandise, j'accélérai soudainement le mouvement afin que mon dard plonge encore plus profondément dans son antre. Au regard de la vitesse que j'imprimais, je donnais presque la sensation d'être sauvage à l'égard de ma colombe mais si je me permettais cet écart de conduite, c'est que je savais qu'il ne serait pas pour déplaire à mon ange.

Passant mes bras autour de sa taille, j'invitais alors Holly à se coucher contre mon corps laissant ses savoureux seins épouser mes pectoraux tandis que nous partagions un baiser à la fois sensuel et bestial. Les yeux fermés, je vins à mon tour chuchoter un simple " je t'aime " à son oreille cherchant par la même occasion à trouver un second souffle avant de repartir à l'abordage. Cependant, ma fatigue se dissipa en un éclair quand mon rayon de soleil m'hypnotisa avec son regard de braise. Ainsi, après lui avoir indiqué d'enrouler ses jambes autour de mes hanches, je la soulevai délicatement et la coinçai contre le mur de la cuisine. Ma langue s'amusa alors à titiller ses tétons pendant que mon nœud continuait de s'infiltrer de plus belle dans ton antre humide et chaude.

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